Partir en WHV moins d’un an : est-ce que ça vaut le coup ?

Lisa a récolté le témoignage de Léo, parti en Working Holiday Visa en Australie pendant 6 mois. Un choix de partir moins d’un an, durée du WHV en Australie, pour coller avec le planning de leur vie en France, Léo et Mathilde ont profité à 100% de leur visa durant quelques mois intenses en aventures. Si vous souhaitez partir vous aussi et que vous vous demandez si l’Australie vaut le coup pour quelques mois, cette interview est pour vous !

13/06/2024

Bonjour Léo, peux-tu te présenter et nous dire ce qui t’a mené jusqu’au Working Holiday Visa en Australie ?

Léo : bonjour ! Je m’appelle Léo, j’ai 22 ans, je suis né et j’ai grandi autour de Nantes. J’ai fait toute ma scolarité là-bas jusqu’à la fac où j’ai obtenu une licence de Langues Étrangères Appliquées (LEA). Ensuite, j’ai décidé de me faire des expériences un peu différentes pour ne pas rester dans un parcours dit “classique”. J’ai donc fait une saison d’hiver à Courchevel en Savoie, dans les Alpes, pendant 4 mois.

C’est durant l’été 2023 qu’on a prévu, ma copine et moi, de partir en Australie pendant quelques mois, car elle y a vécu pendant 8 ans. Elle est allée au Lycée français à Sydney et elle avait très envie de retourner dans ce pays. Moi, de mon côté, j’avais aussi envie d’aventures. Je voyais beaucoup de vidéos sur les réseaux sociaux et ça me donnait pas mal envie : la vie, les salaires, ahah.

Qu’est-ce qui t’a motivé à choisir l’Australie comme destination pour ton WHV ?

Léo : j’y pensais plus comme une opportunité, dans le sens où il y en a là-bas, surtout dans le bâtiment, et là, c’était l’occasion de les saisir. Je n’avais pas prévu d’y aller de suite, mais les choses se sont bien alignées et avec ma copine, Mathilde, on s’est dit que c’était le moment. De son côté, elle avait pris une année de césure en plus, donc c’était l’idéal.

Je ne connaissais pas bien la géographie de l’Australie pour être honnête, mais le package global me motivait : le voyage, les jobs, la vie sur place.

Comment est-ce que tu t’es préparé avant de partir ?

Léo : alors déjà, il y a des papiers à faire pour le visa. On a tout fait sur Internet, et je me suis principalement aidé de vidéos YouTube, car j’utilise beaucoup ce réseau. C’était plus simple pour moi. J’ai suivi un gars qui fait des vlogs une fois par mois, j’avais tapé “PVT Australie” et j’ai bien accroché à son univers. J’ai d’abord suivi sa FAQ, puis après, j’ai comparé avec des sites sur internet, notamment pvtistes.net.

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Pour le budget, j’ai fait de l’intérim pour mettre de l’argent de côté puisque comme tu le sais, il faut l’équivalent de 5 000 $AU pour le WHV. J’ai d’ailleurs choisi de faire des boulots dans la construction pour avoir de l’expérience et trouver un job dans ce domaine en Australie, puisque je savais que c’était recherché. On s’est fait un budget de départ pour l’avion, l’assurance et le visa, qui avait augmenté par rapport à ce qu’on pensait. Évidemment, je m’étais fait une sorte de coussin financier pour partir avec plus que les économies attendues. Le but, c’était d’être auto-suffisants là-bas pour garder des économies en cas de pépin. Et au moins, on savait ce qu’on pouvait dépenser une fois sur place. Je l’ai organisé comme une base pour ne pas stresser !

Ensuite, on a pris nos billets en septembre 2023 pour partir en décembre 2023 et après 2 jours de voyage, on est enfin arrivés en Australie.

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Comment tes proches ont réagi face à l’annonce de ton départ ?

Léo : j’ai été très encouragé par ma mère et par mon père. Ils avaient beaucoup d’interrogations, car le pays est vachement loin quand même. Après, les gens de notre âge connaissent un peu plus le WHV et l’Australie. Il y avait donc beaucoup de curiosité de la part des amis et des très bonnes réactions. Finalement, il n’y a pas eu d’énormes inquiétudes, mais toujours des réactions sur les animaux du genre “mais il n’y a pas des araignées géantes là-bas ?!”.

L’avantage, c’est qu’on avait des contacts sur place, grâce à Mathilde. Elle a des amis, que je connaissais un peu, donc on a été hébergés directement. C’était aussi plus rassurant. D’ailleurs, on a été logés en plein Sydney face à la mer, en plein été : les conditions royales quoi !

Quel était ton rapport au voyage avant de partir pour le bout du monde ?

Léo : ça n’avait été quasiment que des vacances à vrai dire. J’ai considéré ma saison à Courchevel un peu comme un départ à l’étranger, car tu sais, tu es en haute montagne, tu es enclavé pendant 5 mois, donc ça m’a un peu préparé, je dirais. J’étais coupé de mes proches. Mais je trouve ça limite plus simple d’habiter à Londres ou Barcelone, par exemple, qu’à Courchevel, parce que c’est plus facile d’y aller en avion ahah.

L’Australie, c’était ma première expérience à l’international, donc j’étais hyper excité !

Quelles étaient tes envies, attentes et objectifs en partant en WHV en Australie ?

Léo : j’avais forcément des attentes, financières notamment, mais pas non plus ultra exigeantes. J’avais surtout comme objectif de rentrer en France sans avoir perdu d’argent, et si je revenais avec plus alors c’était tant mieux.

Et puis j’avais aussi comme objectif de progresser en anglais, la base, de découvrir des choses que je n’avais jamais vues et faire des rencontres.

Partir moins d'un an en whv

As-tu fait face à des moments de doute ou de difficulté pendant ton séjour ? Si oui, comment les as-tu gérés ?

Léo : il y en a eu plein ! La plus grosse difficulté, c’est quand on a voulu partir en road trip. On était dans le New South Wales, à Sydney et on a acheté une voiture qui venait d’un autre État. Et on n’était pas assez renseignés sur les papiers nécessaires, malheureusement… Il faut faire beaucoup plus de procédures qu’une voiture qui vient du même État. Heureusement, on avait qu’une ceinture à faire changer, pour pouvoir transférer l’immatriculation du véhicule, mais ça a pris un temps fou et ça a retardé notre départ.

L’autre défi, c’était de trouver du travail hors saison, et c’est là que le réseau est super important ! Ça se fait beaucoup off-market : tu rencontres quelqu’un, tu discutes, on te trouve un plan boulot.

Ce que j’en tire, c’est qu’il ne faut pas du tout hésiter à parler à des gens, à se renseigner sur les groupes Facebook de Français, et même à récupérer les jobs qu’ils quittent. Si j’étais resté plus longtemps j’aurais fait des formations professionnelles, mais qui coûtent chères, donc ça ne valait pas le coup dans ma situation. En construction, par exemple : conduire un chariot, travailler sur les toits, monter un échafaudage, etc. Ça vaut le coup, surtout quand tu restes sédentaire à un endroit.

Quels types de jobs as-tu exercé pendant ton WHV ? Peux-tu nous en parler un peu plus en détail ?

Léo : j’ai commencé par la construction, enfin “handyman” comme ils disent. En gros, c’est un peu de bricolage, tu fais des jobs de finitions, tu répares, tu construis des petits trucs dans le bâtiment pour améliorer les bureaux de l’entreprise, etc. J’ai pu faire ça, car c’est le job que j’avais fait en intérim avant de partir, donc j’avais de l’expérience et j’avais un contact sur place. Après, c’était un boulot répétitif : nettoyer, porter des trucs, de la manutention quoi.

En gros, on est arrivés un vendredi en Australie et on a bossé dès le lundi. Finalement, on a travaillé au même endroit pendant 2 mois. C’était vraiment un bon plan, on avait des bons horaires, pas incroyablement bien payés, mais ça suffisait. On faisait du 8h-15h, et on allait à la plage après : c’était royal.

Certains pvtistes pensent qu’ils vont arriver, trouver un job en mine direct, mais ce n’est pas aussi évident qu’on le croit. Il faut des contacts, des formations, etc. En général, il faut y aller au culot et demander.

Qu’as-tu appris sur toi-même grâce à cette expérience de WHV en Australie ?

Léo : j’en ai beaucoup appris sur la relation de notre couple. On en a appris beaucoup sur le vivre ensemble et être h24 avec quelqu’un.

J’ai appris beaucoup sur ma capacité à m’intégrer aussi. Parfois, le groupe d’amis de Mathilde parlait anglais, donc il fallait se plonger dans le bain. Mais tu rencontres aussi des gens de partout dans le monde, donc je dirais que j’ai développé ma capacité d’adaptation et ma débrouillardise.

Aussi, quand tu pars en voiture pendant plus d’un mois, il faut savoir se débrouiller et prendre des décisions un peu importantes parfois. Mais c’est toujours hyper positif en tout cas !

australie

Quelles différences culturelles t’ont le plus marqué entre l’Australie et ton pays d’origine ?

Léo : déjà les Australiens se couchent et se lèvent beaucoup plus tôt. Ils vivent au rythme du soleil. C’était peut-être propre à Sydney, mais le sport est aussi au centre de leur vie quotidienne, c’est hyper motivant et il y a un aspect challenge super sympa aussi.

On entendait beaucoup “let’s go mate”, c’est rigolo. C’est aussi sympa de changer de rythme, en France à 6 h du matin, il n’y a personne dans les rues alors qu’à Sydney, tout le monde est à l’eau pour surfer dès que le soleil commence à se lever.

Une autre grosse différence, c’est que de prime abord tout le monde est enjoué et content. Mais on se demande si c’est sincère et profond. Tout le monde sourit tout le temps donc, on ne sait pas trop si on peut créer une relation sincère et profonde au-delà de “let’s go mate”. On ne sait jamais si c’est de la bienséance ou de la vraie bienveillance.

Quels endroits as-tu vu pendant ton road trip et lesquels ont été tes coups de cœur ?

Léo : alors nous, on a fait un road trip principalement dans le New South Wales. On aurait aimé monter davantage, mais le temps jouait contre nous. Finalement, on est allés jusqu’à la frontière du Queensland, ce qui était déjà assez éloigné.

Aussi, il faut savoir qu’on faisait beaucoup de surf, donc on est restés sur la côte. On a découvert des vagues parfaites, de l’eau turquoise incroyable, des plages ultra sauvages. Ça faisait très équatorial. J’étais surpris, car dès que tu t’éloignes un peu de la plage il y a des randonnées vallonnées qui sont très belles, avec de nombreuses cascades.
La Côte Est australienne est incroyable. Tout se ressemble, mais tout est différent à la fois. Tu vois des kangourous tout le temps, il n’y a personne, c’est vraiment fou.

On a fait aussi une étape à Byron Bay, c’est un peu LA destination de la Côte Est. C’était cool car il n’y avait pas grand monde. On a rejoint d’autres Français sur place, donc ça faisait un peu un esprit de vacances entre amis. C’était le lieu idéal pour ça (malgré le paysage très touristique et les açai bowls à chaque coin de rue). À Byron Bay, chaque jour tu peux faire un truc différent. Toutes les plages sont uniques, j’ai même vu une tortue de mer et des dauphins ! C’est une ambiance un peu plus hippie, les gens sont “à la cool”. C’est une ville très festive.

Je recommanderai vraiment Byron Bay à cette période ! Le seul hic, c’est la météo, il peut y avoir 4 saisons en une journée, mais ça n’a rien enlevé à l’expérience.

Ensuite, on a vu les Blue Mountains, c’était aussi très beau. Il y a de très jolies randonnées à faire. Le reste, c’est plutôt des spots de cascade. D’ailleurs, il faut savoir qu’il n’y a que 26 millions d’habitants en Australie donc il y a beaucoup d’endroits vides de gens.

Et justement dans ce road trip, quel a été ton pire souvenir de voyage ?

Léo : un souvenir stressant et marrant avec le recul, c’est qu’on est restés coincés dans le sable avec notre véhicule. On avait un 4×4, mais pas ultra 4×4 ahah. C’était une voiture assez basse et assez petite, en tout cas comparée aux trucks des Australiens ! En gros, on s’était lancés dans un petit chemin serré, on a prit la descente et là, on est restés coincés ! On ne savait pas comment faire, on ne pouvait pas faire demi tour, on a même arraché le bas de la voiture. Mais quand tu recules et que t’entends un “crac” tu te dis que le reste du voyage va être un enfer… Ça partait bien pourtant. Et puis c’est arrivé au début du road trip, donc c’était stressant. En plus il commençait à faire nuit. Heureusement, des Australiens avec des supers trucks (cette fois), nous ont aidés.

On est allés dormir aussi dans une sorte de camping-parking et là, c’était vraiment perdu au milieu de nulle part. Il était 20 h/21 h, on a voulu faire à manger. Il fallait sortir de notre 4×4 pour tout installer, mais d’un coup il y a eu des bruits trop bizarres. On aurait dit une sorte d’énorme animal qui marchait dans l’eau… Finalement, on a décidé de ne pas sortir de la voiture et de ne pas manger… Tout paraît tellement plus terrifiant la nuit ahah ! Ça se trouve, c’était un petit wombat mignon, mais en Australie on sait jamais, tu te poses quand même la question.

Voiture et van en PVT Australie

Et ton meilleur souvenir ?

Léo : je pourrais pas résumer le WHV par un seul moment car tout était différent. Mais mon meilleur souvenir, je pense, c’est le camping sur 2 jours à Killalea beach. C’était du surf à gogo et personne dans le camping. On était entre amis, dans la nature : le rêve.

Comment ton WHV en Australie a-t-il influencé ta vie personnelle et professionnelle ?

Léo : je ne sais pas si c’est l’Australie qui m’a influencé, mais j’ai décidé de faire une formation en charpente l’année prochaine, comme mon père. Quand tu bosses en construction t’as du boulot partout dans le monde. En Australie, par exemple, un charpentier ou un menuisier, c’est recherché et c’est super bien payé.

D’un point de vue personnel, si je peux rester en France et gagner ma vie ici, c’est top. Si je fais ce boulot en revanche, c’est pour ne pas rester bloqué non plus et voyager si je veux. Finalement, au niveau professionnel, le WHV Australie a forcément eu une influence puisque c’est une fois sur place que j’ai eu envie de contacter des formations professionnalisantes. Alors qu’avant je n’y pensais pas.

Pour l’anglais, aussi. C’est quand même incroyable de pouvoir communiquer avec des gens de partout dans le monde et de rester en contact grâce à cette langue universelle. Aujourd’hui, je suis encore la vie des Colombiens et des Turcs que j’ai rencontré en Australie, sur les réseaux. Il est clair que, l’ouverture sur le monde, tu peux l’avoir que quand tu voyages. Peut-être que c’est extrême, car moi je suis parti à l’autre bout du monde, mais c’est vraiment génial d’avoir cette ouverture d’esprit.

Avant le WHV, je ne savais pas trop quoi faire de ma vie… Je suis content d’avoir fait ce voyage. Même si ce n’était que 6 mois, je considère que j’ai vécu à l’étranger, donc je suis content.

Aujourd’hui, le but n’est pas de repartir. De toute façon, on n’a fait les jours spécifiés pour renouveler notre visa. Maintenant, les portes ne sont pas fermées, puisqu’on a des contacts sur place pour espérer pouvoir obtenir d’autres types de visa. Par exemple, essayer d’être sponsorisé par un employeur.

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Tu es face à une personne qui souhaite bientôt partir en WHV Australie. Quels conseils lui donnerais-tu ?

Léo : faire jouer ses contacts si elle en a et venir avec un bon bagage financier, c’est super important. Surtout si tu veux acheter une voiture, car ça t’ouvre beaucoup de portes dans les jobs. Tu gagnes du temps sur les activités, la voiture, c’est un peu un essentiel, si ce n’est une obligation quand tu veux bouger en Australie.

Se préparer et se renseigner sur l’achat d’une voiture et bien vérifier, à qui on l’achète. Il faut faire attention aux arnaques et même quand vous achetez aux Français !! J’en connais qui se sont fait arnaquer par des Français, qui veulent à tout prix vendre car ils partent.

Aussi, il ne faut pas oublier que le voyage ce n’est pas fait pour tout le monde. Il ne faut pas hésiter à partir plus tôt si besoin. Si au bout de 3 mois ça se passe moins bien, il vaut mieux rentrer que de rester loin de ses proches.

partir en PVT Australie

Si c’était à refaire, y a-t-il quelque chose que tu ferais différemment ?

Léo : On aurait acheté une meilleure voiture ! Après, c’est quelque chose que tu ne peux pas savoir avant… En tout cas, on se serait mieux renseignés sur ce qu’il y a à savoir concernant les documents des véhicules entre États. Pensez vraiment à bien checker le véhicule, sur pas mal de sites, il y a des conseils sur ce qu’il y a à faire. Notamment de demander un contrôle technique avant la vente, même des preuves de réparation, etc. Certaines personnes, même nous, ne sont pas assez regardants.

Un autre point, je serai peut-être plus flexible sur le retour, même si la date fixe nous a permis de concentrer toutes nos visites sur nos 6 mois de WHV.

Comment as-tu vécu ton retour ?

Léo : je dirais que c’était assez simple. Le défi du retour, c’était de retourner à Sydney pour vendre notre voiture. Aussi, on était à la fin du voyage, il commençait à faire plus frais et on sentait qu’on avait fait le tour de la région. On était contents de rentrer en France.

Après si c’était à refaire, je n’aurais pas pris de billet retour et j’aurais cherché un job dans d’autres régions pour découvrir le reste du pays.

Mais bon, on n’a aucun regret, ni sur le voyage ni sur le retour !

Souhaites-tu ajouter quelque chose ou partager une anecdote particulière sur ton aventure en Australie ?

Léo : déjà, je trouve que, nous en tant qu’Européens, c’est un pays que l’on connaît mal. Pour moi, il faut y aller pour le voir et le vivre.

Après, j’ai trouvé qu’en Australie, il y a un manque de culture. De base, c’est un pays qui accueillait les prisonniers donc on dirait un peu une vieille ville de western, un décor un peu Disney ou Hollywood, comme des murs artificiels. Du coup, on dirait que ça a été construit pour des gens de passage. C’est un sentiment assez curieux.

Aussi, l’histoire des aborigènes est assez floue, même si elle est mise en avant de plus en plus… Mais en réalité, on n’en entend pas beaucoup parler dans le pays. Elle est un peu mise de côté… Je dirais que les Australiens, ce sont des européens qui sont venus là et qui se sont juste adaptés au climat.

En revanche, dans le bush, les Australiens ont leur manière de vivre, ça c’est cool ! Ça fait un peu crocodile dundee aventurier.

Et deuxième chose, je conseille aux pvtistes de se mettre au surf pendant leur WHV, parce que c’est trop cool ! Je pense que beaucoup de gens veulent apprendre, mais en France, ce n’est pas évident, alors qu’en Australie, c’est simple. Le surf, c’est un sport qui est difficile, mais il faut se motiver. En tout cas, l’Australie, c’est l’endroit parfait pour apprendre !

Honnêtement, visiter l’Australie, c’est vraiment génial. Si des gens l’ont en tête, il faut y aller ! Tu dépenses un peu d’argent au début, mais il faut tenter. Sans oublier de bien se renseigner, car c’est le bout du monde, avec une toute autre culture.

Merci beaucoup Léo et bon courage pour la suite !

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